Marie Ange Mushobekwa honorée par le Cardinal Ambongo : un geste de reconnaissance nationale

Sous le regard de Dieu et de la Nation : le Cardinal Fridolin Ambongo bénit Marie Ange Mushobekwa, ancienne ministre des Droits humains et députée nationale

Kinshasa, samedi 9 août 2025 — Dans une capitale frémissante d’émotion et de recueillement, un moment rare et profondément symbolique s’est inscrit dans les annales de la vie publique congolaise. Ce samedi, au cœur d’une cérémonie empreinte de dignité et de ferveur, Son Éminence le Cardinal Fridolin Ambongo a accordé une bénédiction solennelle à Mme Marie Ange Mushobekwa, ancienne ministre des Droits humains et députée nationale, saluant son parcours exceptionnel au service de la République.

Dans une chapelle baignée de lumière et de chants liturgiques, le Cardinal Ambongo — figure morale et spirituelle de la nation — a élevé ses mains au-dessus de Mme Mushobekwa, invoquant la grâce divine sur celle qui, pendant des années, a porté haut les valeurs de justice, de dignité humaine et de paix.

> « Que cette bénédiction soit pour vous un manteau de sagesse, un bouclier contre l’adversité, et une source inépuisable de lumière dans votre engagement pour le peuple congolais », a prononcé le Cardinal, dans un silence sacré que seule la foi pouvait habiter.

Marie Ange Mushobekwa, dont le nom résonne avec respect dans les couloirs du Parlement et les mémoires citoyennes, a été saluée pour son combat inlassable en faveur des droits humains, sa voix forte dans les débats nationaux, et sa posture exemplaire dans l’exercice du pouvoir.

Vêtue d’un pagne aux couleurs de la République, le regard empreint d’humilité et de gratitude, elle a reçu cette bénédiction comme un appel renouvelé à servir, à inspirer, et à bâtir.

> « Je reçois cette bénédiction comme une responsabilité sacrée. Mon engagement envers le peuple congolais reste intact, et ma foi en l’avenir de notre nation est plus forte que jamais », a-t-elle déclaré, la voix tremblante d’émotion.

La cérémonie a réuni des personnalités politiques, des membres du clergé, des représentants de la société civile, ainsi que de nombreux citoyens venus témoigner leur admiration. Des applaudissements nourris ont salué les paroles du Cardinal, et plusieurs témoignages ont souligné le rôle crucial de Mme Mushobekwa dans la défense des plus vulnérables.

Ce geste du Cardinal Ambongo transcende les clivages politiques et rappelle que la spiritualité peut être un socle puissant pour la gouvernance, la justice et la réconciliation. En bénissant une femme d’État, l’Église catholique réaffirme son rôle de guide moral et de partenaire dans la construction d’un Congo plus humain, plus juste, et plus uni.

✍ Olívier MAKIESE